Cela fait longtemps que je n'ai pas écrit sur ce blogue. L'inspiration était ailleurs et le temps, toujours mis sur autre chose.Est-ce un nouveau départ ? Non, puisqu'il n'y a jamais eu de fin. Le couloir du temps est un vaste et simple moment présent. Hier et demain ne sont qu'une projection d'aujourd'hui, la fusion d'un même instant.
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Chaque être humain est capable d’accéder à l’illumination et de devenir un Bouddha. L’homme est son propre maître, et nulle puissance ni être supérieur ne règne en juge suprême sur sa destinée.
Shakespeare a dit : Je me sens toujours heureux, vous savez pourquoi? Parce que je n’attends rien de personne… Les attentes font toujours mal, la vie est courte… Aimez votre vie, soyez heureux, gardez le sourire et souvenez vous : Avant de parler, écoutez… Avant d’écrire, réfléchissez… Avant de prier, pardonnez… Avant de blesser, considérez l’autre… Avant de détester, aimez… Et avant de mourir, Vivez !
Je vis pour être le message que j’aspire à entendre. J’aspire à être le chemin que je recherche. J’ai besoin de refléter la lumière que je veux voir. – Michael Bernard Beckwidh
À quoi reconnaît-on un Maître? Tout simplement à son silence... Le perroquet spirituel ne fait que répéter et mimer ce qu'il a lu et vu, mais cela ne vibre pas en lui, cela n'est pas lui.
»Je crois que l’humour est le plus haut niveau de spiritualité. Quand on a tout compris, on rit. » – Bernard Werber L’humain pleinement réalisé aura un grand éclat de rire lorsqu’il aura franchi les dernières marches de son évololution spirituelle.
Un symbole ne transmet pas un message précis, il agit comme un miroir qui reflète le niveau de conscience du chercheur. Il n’y a pas, en soi, de textes sacrés ; le caractère sacré, c’est le lecteur qui le donne. La vérité n’est pas dans un livre, mais dans l’esprit de celui qui, s’appuyant sur le symbole, découvre dans les profondeurs de son être ce mystère essentiel qui est son vrai maître. – Alexandro Jodorowsky De l’intérieur, vers l’extérieur…
Actuellement je fais la lecture de Mu Le maître et les magiciennes, un livre d’Alexandro Jodorowsky, un auteur inspiré, inspirant et au parcours atypique, puissant et passionnant.
Aimer, c’est mourir sans fin à soi même.
Convaincu que sans moi Dieu ne peut vivre; Que s’il me fallait mourir, Il succomberait par moi. Je suis comme Dieu est, grand, Et Il est à mon image, petit; Il ne peut me regarder de haut, Je ne puis être sous son regard, soumis. En moi Dieu est flammes Comme en Lui je suis; Notre existence est commune, Sans moi, sans Lui, cesse la vie.